Ce numéro fête l’espoir et la joie d’un printemps qui s’installe ; c’est la vie qui revient, les arbres de la cour sont en fleurs, et les feuilles sont encore d’un vert tendre.
Dans ce numéro, on parle en effet d’espoir et de solidarité. L’Ukraine est dans nos pensées, et notre école fait preuve de générosité et d’originalité en se mobilisant de multiples façons pour aider et soutenir nos frères et sœurs ukrainiens.
Vous apprendrez que grâce aux fourmis entraînées par des scientifiques, l’homme avance dans la science et dans la médecine. Et les énergies de demain seront-elles nucléaires ou non ? C’est une question que vous êtes en droit de vous poser, et vos camarades de Graffiti explorent ces énergies de demain et les défis à relever pour votre génération. On chante et on danse également au mois d’avril : à l’occasion de la 3e édition du Festival des cultures, l’École se lance dans l’opéra en collaboration avec un autre établissement scolaire, l’occasion de partager et de faire de nouvelles rencontres.
Mais on se pose aussi des questions sur le sens des mots, leur origine et la façon dont nous nous les approprions ; vous ne regardez plus votre sandwich de la même façon après avoir lu l’article sur les sciences du langage. Les envahisseurs de l’espace rodent autour de vous, et vous surveillent avec leurs yeux de mosaïque depuis les murs de villes un peu partout dans le monde : vous apprendrez tout sur les Space Invaders de Franck Slama. Les voyages scolaires ayant repris, les 5e ont pu se rendre en Alsace, au plus près des racines de notre École, et raconter leur expérience dans les colonnes de Graffiti.
Je vous souhaite une bonne lecture, que Graffiti vous accompagne sur la route des vacances de printemps, et quand vous aurez terminé de lire les articles, vous pourrez vous plonger dans un des romans de Paul Martin dont Graffiti vous fait le portrait en buvant un bubble tea que vous aurez préparé grâce à la page cuisine de votre journal fidèle et gourmand.
Marc Pilven
graffiti-n28