Nous avons appris avec tristesse le décès d’André Ratel survenu le jeudi 25 mars 2021. Il a travaillé au service maintenance de l’École alsacienne de 1988 à 2012. Ses obsèques ont eu lieu le vendredi 2 avril 2021 à Baillet-en-France.
André Ratel a commencé sa carrière d’électricien, à 18 ans, dans une entreprise qu’il a quittée en 1988, l’année de son entrée à l’École alsacienne comme agent d’entretien. Il aura donc fait toute sa carrière dans deux établissements.
C’est à l’occasion de la construction du 128, rue d’Assas qu’il découvre l’École et, sitôt le chantier terminé, il propose ses services à Mme Veber, l’intendante. Il forme dès lors l’équipe qui, avec Nicolas Bouquet, veillera au bon fonctionnement de l’établissement et à sa sécurité. Travaux d’entretiens, réparation d’urgence, ceux que les élèves appellent affectueusement Laurel et Hardy, ont été sur tous les fronts.
Trois ans avant son départ à la retraite en 2012, André Ratel a eu la satisfaction de voir son engagement professionnel distingué par la médaille grand or du travail. Lors de la remise de cette médaille, ses amis de l’École et sa famille l’ont entouré avec chaleur et simplicité. Nous garderons en mémoire le visage toujours souriant d’un fidèle serviteur de notre maison.
Vendredi 2 avril 2021, Anne Simmat et Pierre de Panafieu ont présenté à son épouse et à sa fille les sincères condoléances de l’École lors de ses obsèques en l’église Saint-Martin de Baillet en France.
Nous ferons suivre les messages de sympathie à sa veuve et à sa fille.
Pierre de Panafieu, directeur de l’École alsacienne
Texte lu par Nicolas Bouquet
Hier, aujourd’hui, demain.
Nous avions ensemble fait tant de choses.
Et voilà que maintenant tu nous quittes.
Nous avons mangé, bu avec toi, nous avons partagé les soucis et les travaux quotidiens.
Avec toi nous avons partagé tant de projets et tant d’espoirs.Il y a tant de choses encore que nous aurions voulu faire ensemble.
Mais cela semble s’arrêter aujourd’hui et ce n’est plus ensemble que nous allons réaliser ce que tu espérais.
Nous voudrions nous souvenir de toi, continuer de travailler à tout ce que tu attendais, à tout ce que tu espérais.
Comme un mur, la mort nous sépare, de toi, comme le souffle du vent qui balaie les obstacles.
Notre amitié, notre affection et notre espérance s’en iront te rejoindre là où désormais tu nous attends près de Dieu.
Le Petit Prince de Saint-Éxupéry